Travaux finaux :
Cours 6 – vendredi 22 décembre 2017 :
Cours 5 – vendredi 8 décembre 2017 :
Conceptualisation par deux et création de fiches.
Les fiches :
Gestes de Problématisation issus des séances passées – le document compilé par Anne.
Cours 4 – vendredi 24 octobre 2017 :
Travail en groupes : créer une page d’explication de la problématique et des liens entre les éléments du montage réalisé ensemble.
Discussion en grand groupe concernant la problématisation telle que vue par les observateur-trice-s de chaque groupe – les notes prises en cours de débat.
Cours 3 – vendredi 10 novembre 2017 :
Travail en groupes sur les montages puis échange de montages groupes deux à deux.
Présentation par chaque groupe du montage qu’il a reçu en lecture + échange avec le groupe qui a créé le montage.
Montages :
Groupe 1
Noémie, Olivier, Adbel, Sophie, Aurore |
Groupe 2
Dominique, Charles, Serge, Josepha |
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Introduction | Montage 1 | Introduction | Montage |
Groupe 3
AnneD, Stéphane, Carine D, Jérôme |
Groupe 4
Françoise, Céline, Étienne, Philippe H |
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Introduction | Montage | Introduction | Montage |
Groupe 5
Cristina, Anne J, Mireille, Valérie |
Groupe 6
Marie, Aurélie, Ariane, Jean-Denis, Boubker |
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Introduction | Montage 5 | Introduction | Montage |
Groupe 7
Philippe R, Cécile R, Cécile S, Rosanna |
Groupe 8
Carine V, Delphine, Pierre |
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Introduction | Montage | Introduction | Montage 8 |
Cours 2 – vendredi 20 octobre 2017 :
Travail en groupes sur les montages.
Cours 1 – vendredi 13 octobre 2017 :
Objet de recherche commun = problématisation philosophique. Parvenir ensemble à mieux définir le geste de problématisation.
Angle : comment nous on problématise une question de citoyenneté ? Nous avons besoin nous-mêmes de nous saisir du réel et d’infliger un traitement philosophique à cette réalité : qu’est-ce que ce traitement ? Peut-être pas un geste unique ? Luxe de prendre du temps (d’être obligés de prendre ce temps) pour penser ce qu’on fait, approfondir certains gestes. Faire ici quelque chose de plus poussé que ce qu’on fait d’habitude parce que on n’a pas professionnellement le temps de le faire comme ça dans nos classes.
Geste de problématiser (objet et horizon de ce cours) :
On s’est trouvés devant une double impasse, de laquelle ou doit partir. D’un côté on est convaincus que problématiser en philo c’est quelque chose d’assez précis, pas poser une question en général (pas « qu’est-ce que l’Etat », là pas d’obstacle, pas de difficulté… pas d’écart entre la question et la réponse, pas de temps nécessaire pour déplier le problème). D’un autre côté, c’est pas non plus une technique qu’on pourrait définir et appliquer avec aisance et certitude, être tranquille dès lors qu’on la possède. Faire catalogue des gestes de problématisation chez les philosophes est insuffisant.
Plutôt quelque chose comme de l’art, toujours soumis à une contingence, ça peut ne pas marcher, même avec l’expérience on n’y arrivera pas forcément.
Difficulté : spécificité, mais contingente. Impossible et nécessaire à la fois.
Faut arriver à trouver une façon personnelle de poser des problèmes, se fait en s’exerçant, comme l’art, en le faisant, en créant. À la fois y réfléchir ET le mettre en œuvre soi-même.
3 temps :
– Mise en bouche – voir chez 2 philosophes qui de manière visuelle précisent ce qu’est la problématisation mais aussi ce qu’est faire de la philosophie. Retirer de là quelques traits définitoires. Pour stimuler dans ce qui suit. Observation.
– Chercher ensemble quelque chose – dans la durée (peut-être jusqu’au bout des séances).
– S’observer faire – observateur de la problématisation dans chaque sous-groupe (mixte philo-non—philo) qui devra chercher à analyser ce qui se passe dans le groupe. Chacun pour soi pourra également noter ses propres observations sur la question. Niveau méta sur ce qui se passe réellement quand on est dans cet exercice-là.
Travail sur les UAAs du référentiel. Brainstorming pour retrouver un max de situations qui ont le plus de chair possible (réelles). Puis questions qui se posent par rapport à une des situations choisie par le groupe. En arriver à un pré-problème, quelque chose d’inédit. Puis le nourrir avec du savoir, des textes etc. But chacun repart avec des pistes de recherches théoriques.
Puis venir avec des supports à mettre en commun à la séance suivante. Conception d’anthologie, extraire, associer, créativité mise en page, graphisme etc. pour penser l’intérêt de l’aléatoire mais aussi de la construction d’un problème partir de sources contrastées. Puis pouvoir rédiger en une page une introduction à cette anthologie qui décrive le problème de manière assez fine.
Sous-groupe changeront totalement après 3 séances.
Évaluation du cours :
Découle de tout ceci.
La moitié est la production collective d’une anthologie avec une introduction écrite collectivement.
L’autre moitié est un petit travail écrit relativement relativement bref (2-3 pages) plus introspectif de comment ai-je vécu cette expérience, qu’est-ce que c’est pour moi problématiser mais à partir de ce qui s’est passé, des obstacles rencontrés, du vécu ici.
Tout le monde tutoie tout le monde.
Textes des anthologies seront récupérés par tout le monde à la fin du coup constitution d’un corpus commun. Les textes ne doivent pas être lisibles pour les élèves.
Présentations :
Qu’est-ce que faire de la philo ? – consigne : mettre ce qui nous sort par la tête
Le philo vagabonde – Alain Guyard
Histoire du philosophe qui doit descendre de vélo pour se voir pédaler – sauf dans le second souffle après 40min de course
Abécédaire (H) de – Deleuze Lettre H comme Histoire de la Philosophie : 28min30.
Voir la vidéo
Idée = chose qui n’est qu’elle-même. Problème : prétendants, définir le droit ou le non-droit d’un prétendant (problème grec, démocratie, sophistes vs philosophes). Concept : Idée.
Problèmes un peu dits un peu cachés. Du coup histoire de la philo = chercher les problèmes.
Document intéressant concernant l’apprentissage du philosopher…
Discussion : qu’est-ce que la problématisation ?
Problématiser, est-ce aller chercher le problème qui est derrière le concept (pour le réincarner, se le réapproprier, l’actualiser ?) ou trouver le problème dans la réalité pour créer des concepts qui le solutionnent.
Obstacle, impensé ? Qui s’y colle à penser des problèmes qui surgissent ?